Il n’y a pas si longtemps, quand je préparais mon mémoire de sophrologie, je fis une expérience bien particulière : des pratiques de sophrologie aux pays des chats, plus précisément au bar à chats sur Avignon.

J’en ai moi-même onze à la maison, c’est vous dire que je connais bien le sujet.

Donc me voilà partie pour huit séances, gratuites, très enthousiaste. Comme convenu avec les propriétaires du restaurant, les personnes qui réservaient devaient consommer au moins une boisson.

On nous installa au fond du café, pour avoir du calme. Comme je m’y attendais, les chats vinrent nous voir, curieux au début, indifférents pour certains, mais ils tinrent toujours leurs distances. J’en fus un peu étonnée, car certains des miens se risquent à ronronner ou se pelotonner sur moi quand je fais de la méditation.
Peut-être est ce dû aux énergies que dégageaient certaines personnes présentes ou le contexte qui n’était pas propice aux câlins ? Je ne le saurais jamais, mais en tout cas ce fut une expérience et je suis heureuse de l’avoir vécue.

La ronronthérapie :

On sait depuis longtemps que la présence des animaux est apaisante. La ronronthérapie affirme que le chat, par ses ronronnements, aurait des effets bénéfiques sur notre santé, en particulier mentale. « Elle agit comme un médicament, sans effets secondaires »

Les bienfaits de la ronronthérapie sont-ils prouvés ?

Plusieurs études, notamment anglo-saxonnes, ont été réalisées dès les années 50 pour comprendre l’impact du ronronnement sur notre esprit et sur notre corps. Le Dr Gauchet lui-même a mené une étude en 2002 auprès de 50 volontaires, sur la base d’un CD de ronrons de Rouky, l’un de ses « chats patients ». Tous les participants ont affirmé avoir ressenti davantage de bien-être, de sérénité et avoir eu plus de facilités à l’endormissement. Pour autant, il ne s’agit pas d’un effet reconnu.
Je vous laisse lire la suite sur ce lien.